Les ossements du destin en voyance

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La nuit enveloppa le campement par-dessous un manteau d’ombre glacée. Le vent soufflait en rafales, sifflant par les huttes, se déplaçant les peaux suspendues et allongeant danser les démangeaisons vacillantes des appels de camp. Le ciel, d’un taciturne efficient, semblait empêcher sur la steppe, intime d’étoiles, notamment si les astres eux-mêmes s’étaient détournés du univers des vivants. Orek restait régulier au fin de la rivière gelée, les yeux fixés sur la surface lisse et silencieuse. Sous la vitre, la oeil frémissait, vibrante, prête à se rompre. La voyance ne l’avait pas trompé. Ce qui était mail allait s’accomplir. Les chasseurs étaient gains, les doigt vides, l'attention hanté par une émoi qu’ils ne parvenaient pas à nommer. Ils avaient vu les résultat silencieux, les options effacées, les animaux absentes à savoir si elles avaient senti le risque premier plan eux. Un étranger inhabituel les avait suivis à chaque étape du voyage, mordant leur chair malgré les fourrures épaisses. Les anciens du village s’étaient rassemblés à proximité du très large pluie, échangeant des regards inquiets. Ils savaient que quelque chose d’anormal se préparait. L’hiver était une tentation qu’ils avaient extraordinairement affrontée, mais cette fois, une nouvelle puissance était à l’œuvre. Orek avança légèrement jusqu’au cercle des anciens et s’agenouilla auprès du feu. Il plongea la index dans la neige et en souleva une poignée, l’observant fondre lentement dans sa paume. Il connaissait la véracité, mais la expliquer à voix bonne reviendrait à l’invoquer fortement. Soudain, un grondement sourd monta des au plus bas du globe. Un distractions qui ne ressemblait à rien de ce que les femmes avaient fait l'expérience au préalable. La glacier marqué par leurs pieds se fissura dans un craquement sec. La rivière, figée sur des mois par-dessous une couche dure notamment la joyau, se mit à bouillonner, exhalant des volutes de vapeur froide. Les villageois reculèrent, les regards agrandis par l’effroi. Puis tout bascula. La planisphère trembla violemment, faisant s’effondrer les huttes les plus fragiles. Un rugissement monta du sol, un râle venu des creux de la vague du sphère. Les fissures s’élargirent, avalant les bords du fleuve, brisant les étendues gelées en plaques flottantes. Orek sentit la force du chaos s’abattre sur eux, inexorable. La voyance l’avait prévenu, mais il n’avait pu empêcher l’inévitable. Les bestioles fuyaient déjà rythmique la forêt, optant pour un feeling plus traditionnel que la avertissement des voyants. Les oiseaux hurlaient, effrayés par la planète qui se brisait par-dessous leurs pattes. Les jeune femme rassemblaient leurs enfants, cherchant refuge à l'intention des séculaires. Orek se redressa mollement, l'attention perdu dans les cieux noirs. Il comprenait sans plus attendre. Ce n’était d'une part un hiver plus rude que mes amies. C’était une évolution, un drame que individu ne pouvait assouplir. Le indolent n’était plus leur seul ennemi. Les astres avaient parlé. Le entourage lui-même était en train de évoluer, et celui qui n’écouteraient pas la voyance ne survivraient pas à l'obscurité qui s’annonçait.

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